Ciao bambino
Après de multiples remaniements de dernière minute, des incessants arrangements d'apothicaire, des innombrables mises au point tardives d'emploi du temps et des centaines de noms d'oiseaux échappés à la volée ... le moment est enfin arrivé... le moment de faire une soirée d'au revoir pour Chuubaka qui s'en va loin, très loin, dans les mornes plaines de .... Tours ... afin de reprendre ses études de petit chimiste.
J'avais déjà réfléchi à la soirée : une fiesta chez moi, entre initiés avec la Poulpette et la Truite saumonée (de rigueur!), Ray-Ban et Arnaud (pour le quotat de testostérones) et bien sûr de l'alcool pour que la fête soit plus folle, voire un jeu à boire, pour retrouver Cline en sous-vêtements dans l'escalier comme à la soirée précédente! Ah quel bon moment! Et dire que mes voisins se couchent comme les poules... dommage!
Tout avait si bien commencé... et comme dirait Corneille (ou pas)
"Nous partîmes cinq cents ; et par un prompt renfort,
Nous nous vîmes TROIS en arrivant au port"
Oui le jour J nous sommes trois à fêter avec transport la nouvelle vie de Chuubaka : Chuubaka en personne, Cline et moi.
Et à y bien réfléchir, être la seule personne entre Cline et Chuubaka, était assurément une mauvaise idée. A chaque fois que ces deux-là se retrouvaient ensemble, chuchotements, moult frottements et autres bruits suspects (que seuls un homme et une femme peuvent émettre dans un coin confrotable, la lumière éteinte) se faisaient entendre.
Donc après mûre réflexion (et aussi parce que j'avais la flemme de ranger l'appart, je l'avoue), nous voilà le samedi soir chez Cline, à nous bourrer la gueule. La soirée se passe bien et nous avons même droit à notre quotat d'européens avec Irène, la colocataire allemande de la Truite qui vient prendre un pot avec nous.
Minuit et demi, je m'en vais Chuubaka est resté chez Cline, je m'apprête déjà à me frotter les mains lorsque la Truite en question m'annonce que, physiologiquement, il ne pourra de toute façon rien se passer entre le macho poilu et elle. C'est balot ça un peu quand même? Après avoir compati deux secondes, je me rentre quand même chez moi.
C'est donc un des rares samedis de fiesta où je ne me retrouve pas avec tous les potes dormant à la maison. C'est bien aussi... même si le dimanche matin ça m'a fait bizarre de ne pas retrouver tous les cadavres habituels répandus autour de moi!
Enfin, courage macho poilu pour tes nouvelles études!
Rends-moi fière ou plutôt... ne me fais pas honte!
J'avais déjà réfléchi à la soirée : une fiesta chez moi, entre initiés avec la Poulpette et la Truite saumonée (de rigueur!), Ray-Ban et Arnaud (pour le quotat de testostérones) et bien sûr de l'alcool pour que la fête soit plus folle, voire un jeu à boire, pour retrouver Cline en sous-vêtements dans l'escalier comme à la soirée précédente! Ah quel bon moment! Et dire que mes voisins se couchent comme les poules... dommage!
Tout avait si bien commencé... et comme dirait Corneille (ou pas)
"Nous partîmes cinq cents ; et par un prompt renfort,
Nous nous vîmes TROIS en arrivant au port"
Oui le jour J nous sommes trois à fêter avec transport la nouvelle vie de Chuubaka : Chuubaka en personne, Cline et moi.
Et à y bien réfléchir, être la seule personne entre Cline et Chuubaka, était assurément une mauvaise idée. A chaque fois que ces deux-là se retrouvaient ensemble, chuchotements, moult frottements et autres bruits suspects (que seuls un homme et une femme peuvent émettre dans un coin confrotable, la lumière éteinte) se faisaient entendre.
Donc après mûre réflexion (et aussi parce que j'avais la flemme de ranger l'appart, je l'avoue), nous voilà le samedi soir chez Cline, à nous bourrer la gueule. La soirée se passe bien et nous avons même droit à notre quotat d'européens avec Irène, la colocataire allemande de la Truite qui vient prendre un pot avec nous.
Minuit et demi, je m'en vais Chuubaka est resté chez Cline, je m'apprête déjà à me frotter les mains lorsque la Truite en question m'annonce que, physiologiquement, il ne pourra de toute façon rien se passer entre le macho poilu et elle. C'est balot ça un peu quand même? Après avoir compati deux secondes, je me rentre quand même chez moi.
C'est donc un des rares samedis de fiesta où je ne me retrouve pas avec tous les potes dormant à la maison. C'est bien aussi... même si le dimanche matin ça m'a fait bizarre de ne pas retrouver tous les cadavres habituels répandus autour de moi!
Enfin, courage macho poilu pour tes nouvelles études!
Rends-moi fière ou plutôt... ne me fais pas honte!